TiestO Adagio for String
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Comment faire plus hype qu'une chronique de dj Tiesto, le dj le plus demandé au monde et l'auteur de la techno la plus populaire en restant authentique.
Ces foutus nightclubber, pitoyable descendant déclaré de Beigbeder dans la veine de la chronique nocturne hédoniste me reprocheront (si tenté qu'il y en ait qui lise cette article) de me la péter hype depuis que je connais les nom de Ivan Smagghe, Morpheus, Tiesto et que j'ai dl les différents "fabricLive". Mais je vous emmerde... et je rentre à ma maison (si c'est pas hype ça d'arriver à citer southpark dans un article sur le dj auteur du sublissime "Adagio For String"). Cet "adagio" qui est le pourquoi de cet article.
Sa démarre tout doucement (comme toute claque électro), son froid, musique classique électronisé. Le beat arrive et on sait dega que l'on assiste à quelque chose de grand, la monté est celle d'un Bailey's-Kalhua-GrandMarnier, toute en douceur avec des breaks fréquents de musique classique électronisé..
2.57 à ce moment la (extrait) c'est parti, la monté s'apparente maintenant à un mètre de shooter de vodka au poivre, basse free party et électrisation par la musique.
C'est grand, dire que tout l'album est comme cela, en l'espace de 6 minutes vous avez connu une vie de clubbing (j'emmerde toujours ces post-romantique nihiliste gauchisant accoudé au bars de la fabric a Tokyo qui me demanderont ce que je connais comme boite à part quelque club español, l'hypnose et le durango (boite??!) à Pau...)
J'estime m'y connaître assez en alcool et en musique pour chroniquer ce chef d'oeuvre de la techno de base efficaces. En 6 minute vous avez droit aux plus belle montée ainsi qu'au descente les plus parfaites bref ce morceau correspond à la perfection à ce pourquoi il a été créé...